Fruit Logistica 2019 : Les Paysans de Rougeline y seront !

Le salon international des fruits et légumes de Berlin ouvrira ses portes le mercredi 7 Février !

 

Cette année, 3.200 exposants de plus de 90 pays et 78.000 visiteurs du monde entier sont attendus sur l’évènement.

 

Retrouvez-nous dans le Hall 22 – stand A11, et venez découvrir nos nouveautés !

 

Faire aimer les fruits et légumes à vos enfants, c’est possible !

Devant une poêlée de légumes, le sourire de vos enfants s’évanouit ? Ne vous découragez pas ! Voici quelques conseils pour les réconcilier avec la verdure dans l’assiette et une alimentation saine.

Par Murielle Giordan  

Les fruits et légumes : indispensables pour nos bouts de choux !

A partir de 3 ans, votre enfant mange comme vous, et non plus comme un bébé. Jusqu’à l’adolescence (autour de 12 ans), leurs besoins nutritionnels restent pourtant difficiles à évaluer, les vitesses de croissance étant variables. Mais ce qui est indéniable, c’est qu’une alimentation équilibrée et variée est indispensable pour eux. Les fruits et légumes sont donc essentiels, car très riches en vitamines, minéraux et en fibres. Ils sont aussi peu caloriques et ont le pouvoir de prévenir des maladies à l’âge adulte (cancers, maladies cardiovasculaires, obésité, le diabète…). D’où l’intérêt de leur en faire consommer à tous les repas (5 par jour est la recommandation), en variant les espèces, les modes de cuissons et les recettes de cuisine. On vous conseille de privilégier plutôt les fruits et légumes frais, d’autant que les fruits au sirop vendus en supermarchés sont souvent très sucrés. Quant aux jus de fruits, ils sont considérés comme une portion de fruit, à préférer sans sucre ajouté et frais. A éviter : les nectars qui sont plus caloriques et assez pauvres en fruits.

Oui mais…mon enfant souffre de néophobie alimentaire !

Et là c’est le drame : au repas, vous vous heurtez à moult refus et à des « Non j’aime pas ! » catégoriques. Votre enfant souffre peut-être de néophobie alimentaire. Késako ? C’est une phase très courante chez les enfants de 18 mois à 6 ans, surtout jusqu’à 3 ans (moment de la phase du « non », appelée aussi « phase de l’opposition »).  L’enfant a alors peur de la nouveauté dans son assiette. Du jour au lendemain, il refuse tout ce que vous lui proposez, il rechigne à goûter un nouvel aliment et va le rejeter en bloc. A ne pas confondre avec un simple caprice à table… Cette phase, normale, demande aux parents un peu de patience et surtout quelques astuces pour en venir à bout, et en douceur.

Astuce N°1 : Commencez tôt !

Dès la naissance de votre bout de chou, et si vous allaitez, privilégiez une alimentation variée. En consommant régulièrement vous-même des fruits et légumes, votre lait en sera « parfumé » et vous partagerez leurs bienfaits avec votre bébé, qui ainsi aura déjà une petite idée de cette multitude de saveurs.

Entre six mois et neuf mois, place à la diversification ! La bonne idée : multiplier les purées cuisinées maison, les soupes, les compotes …et faire la razzia de fruits et légumes de saisons au marché. Plus vous achèterez de produits différents, plus votre enfant profitera d’une variété de goûts. Même si vous essuierez probablement quelques refus de temps en temps, les tout-petits adorent découvrir de nouveaux goûts. Pour commencer, présentez-lui les légumes un par un pour que l’enfant apprenne à les reconnaître: d’abord la carotte, ensuite les petits-pois, puis la courgette, et en dessert la pomme, puis la pêche, la poire… De cette façon, l’enfant apprendra à les différencier entre eux. Vous pourrez ensuite les associer à d’autres légumes, pour varier.

Astuce n° 2 : Impliquez vos enfants

Pour les familiariser avec les tomates en été ou les poireaux en hiver, faites-les participer ! Depuis les courses jusqu’à la préparation des repas à la maison. Emmenez-les avec vous faire les courses au marché, baladez-vous dans les étals, jouez avec eux à reconnaître tel ou tel fruit et légume, sous forme de jeu. Parlez-lui des saisons, expliquez-lui quels légumes on peut manger pendant l’automne, l’hiver… Plus votre approche sera pédagogique et ludique, moins votre enfant émettra de réticences et sera ouvert à la découverte. N’hésitez pas à solliciter ses sens : le toucher, l’odorat… En cuisine, faites-le aussi participer! Selon son âge, il pourra vous aider à concocter une soupe, à la mélanger, à assaisonner une salade, éplucher une pomme ou une poire. Pour commencer, proposez-lui des recettes qu’il aura des chances d’apprécier ou ouvrez ensemble un livre de cuisine illustré avec photos pour faire votre choix (vous pourrez bien-sûr adapter la recette selon son niveau de difficulté). Il existe moult tâches qu’on peut confier sans peine aux enfants, même petits : laver les fruits et légumes, presser des fruits, mélanger et fouetter une préparation, étaler de la pâte avec un rouleau à pâtisserie… Et n’oubliez pas de lui enfiler un petit tablier de cuisine pour le transformer en apprenti-chef !

S’il est vraiment trop petit, approchez sa chaise haute du plan de travail pour qu’il vous regarde cuisiner, et expliquez-lui ce que vous faites. Cela lui donnera le goût de faire la même chose dès qu’il sera un peu plus grand. Pour éveiller ses sens et son intérêt, la cueillette en famille à la ferme ou chez un producteur est aussi un bon compromis.

Astuce n°3 : Cuisinez autrement et soignez la présentation

Pourquoi ne pas réaliser un visage à partir de carottes, un bonhomme avec des morceaux de chou fleurs ? La cuisson et la façon de cuisiner peuvent aussi tout changer : un légume grillé au four avec une petite sauce plutôt qu’à la vapeur ou une tarte à la tomate au lieu de morceaux en salade sera plus appétissant. Si vos enfants ne jurent que par les frites et les pizzas, présentez-leur des légumes avec. Ils adorent le fromage fondu ? Faites cuire des brocolis et recouvrez-les d’emmental râpé, et passez le tout sous le grill du four quelques minutes. Tartes salées, quiches, cheeseburger aux légumes avec roquette et fines tranches de courgettes et mozzarella à l’intérieur… sont aussi de bons moyens d’intégrer les légumes dans leur alimentation. L’œuf cocotte à la tomate a aussi beaucoup de succès : lavez d’abord la tomate, coupez-lui un chapeau. Creusez l’intérieur de la tomate et saupoudrez le fond d’un peu de basilic. Cassez ensuite l’œuf et versez-le dans la tomate, saupoudrez de paprika ou d’un peu d’origan et enfournez le tout 15 à 20 min dans le four préchauffé à 180°C. Ne vous privez pas des épices et herbes aromatiques, qui boostent certaines saveurs.

Astuce n°4 : Restez zen

Face à plusieurs refus, la tentation de jeter l’éponge et de céder au refus de l’enfant est grande. Pourtant, les médecins conseillent de ne pas se décourager et de proposer patiemment au moins 8 à 10 fois le même aliment, d’abord en petites quantités et toujours sous la même forme pour aider l’enfant à le reconnaître. Vous pouvez aussi déguster devant lui les aliments refusés, pour lui montrer l’exemple. Au lieu de le gronder parce qu’il ne mange pas, rassurez-le, expliquez lui en quoi cet aliment sera bon pour lui (pour lui apporter des vitamines qui l’aideront à moins tomber malade, à avoir plus d’énergie pour jouer plus longtemps…). L’important est de ne pas stresser devant vos bambins et de maintenir une atmosphère zen et conviviale autour du repas, afin qu’ils ne se braquent pas davantage.

Fruits et légumes sans pesticides : une troisième voie en essor

Article paru dans les Marchés

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La journée Rougeline 2018 en Pays d’Albret

C’est au cœur du Pays d’Albret que Les Paysans de Rougeline se sont réunis le 7 Décembre dernier pour leur journée annuelle.

 

Cette année, la « famille Rougeline » s’était agrandie d’une nouvelle coopérative, Cadralbret, qui rejoint le groupe.

 

Au programme, le bilan de la saison écoulée et les enjeux de la saison à venir, mais aussi des interventions sur les thèmes de la création de valeur par la mise en oeuvre de labels en fruits et légumes, ou le financement participatif de projets agricoles.

La journée était aussi l’occasion de découvrir la richesse du patrimoine local !

Les fruits et légumes : plutôt crus ou cuits ?

Telle est la question ! Cuire ou non ses fruits et légumes est loin de n’être qu’un détail, car le mode de cuisson a un impact sur leurs qualités nutritionnelles. On fait le point.

Par Murielle Giordan

Le cru pour préserver vitamines et minéraux

La cuisson altère souvent les vitamines et minéraux des aliments.  Ce qui explique sans doute cet engouement pour le « raw diet food » (ou crudivorisme), un régime où le cru est légion, plébiscité par les accros de l’alimentation saine. Il est vrai, et les nutritionnistes le confirment, que de nombreux fruits et légumes ont un meilleur potentiel nutritif crus que cuits. C’est le cas des fruits à coque (noix, noisettes, amandes) qui, consommés crus, diminuent le mauvais cholestérol grâce à leurs acides gras essentiels. Une fois cuits à une température supérieure à 170 degrés, ces effets positifs deviennent nuls. Les agrumes, eux, renferment aussi de nombreuses propriétés. L’idéal est de vous concocter vous-même des jus de fruits (ou de légumes) frais, plus vitaminés que ceux en supermarchés, pasteurisés.

Fenouil, carottes, bananes, brocolis… On les adore crus !

Manger des brocolis crus est très bon pour la santé. La raison ? Leur enzyme, la myrosinase, qui permet une meilleure détoxification du foie et la prévention de certains cancers.
Le fenouil, très apprécié pour son arôme un peu anisé, sera excellent émincé dans une salade, arrosé d’un filet d’huile d’olive. Après l’avoir lavé, détaillez-le en lamelles et retirez ses parties abîmées pour qu’il soit bien blanc. Riche en vitamine C, bêta-carotène, vitamine B9 (acide folique), fer et potassium, il améliore la densité osseuse et réduit la tension artérielle.
Si vous aimez croquer des radis, surtout n’arrêtez pas ! Ils sont excellents pour lutter contre les maladies cardiovasculaires.
La carotte, elle, est un excellent anti-âge, grâce à ces caroténoïdes : le bêta-carotène, la lutéine et le zéaxanthine. Elle réduit le risque de cancer, donne de l’éclat à la peau et, plus surprenant, est excellente pour la santé de la rétine ! Elle se consomme aussi bien crue que cuite, mais si vous avez le côlon fragile, consommez-les plutôt cuites, pour faciliter la digestion. Seul bémol : la cuisson élimine les propriétés du falcarinol, très présent dans la carotte mais aussi dans le céleri ou le panais. Ce composé naturel présent dans la carotte prévient le cancer et d’après plusieurs chercheurs, peut même le réduire d’un tiers. Le bon compromis : la cuisson à la vapeur, pour maintenir au maximum les propriétés et valeurs nutritionnelles du légume.
Quant à la banane, on la consommera plutôt crue, telle qu’elle, mais sans trop attendre. Plus elle mûrit, plus son taux de vitamine C chute.

La tomate cuite, excellent antioxydant !
L’incontournable tomate, pauvre en calories, a tendance à être surtout consommée crue, en salade. Elle est un excellent aliment anticancer car non seulement elle est riche en vitamines (notamment en provitamine A) et en caroténoïdes (qui contribuent entre autres à préparer la peau au soleil) mais surtout elle contient une substance appelée «lycopène ». C’est ce fameux pigment qui lui donne cette si jolie couleur rouge, et qui renferme surtout un fort pouvoir antioxydant qui atteint son maximum pendant la cuisson. Ainsi, déguster des tomates cuites, par exemple farcies, un ketchup fait maison, une sauce ou un bon coulis de tomate permet de bénéficier du meilleur potentiel antioxydant du fruit, la cuisson permettant de mieux libérer le lycopène. Et avec un filet d’huile d’olive après la cuisson (pendant, les corps gras deviennent toxiques), votre organisme l’assimilera encore mieux! Idéal pour protéger les vaisseaux et prévenir de certains cancers (en particulier de la prostate), des maladies cardiovasculaires et du diabète. Champignons et asperges se révèlent aussi excellents pour l’organisme lorsqu’ils sont cuits. Non seulement ils seront mieux digérés mais ils conserveront parfaitement leur teneur en vitamines du groupe B. On vous suggère toutefois d’essayer la salade d’asperges crues (moins traditionnel, les asperges se mangeant plutôt cuites !), en les éminçant finement, simplement relevées par une vinaigrette et pourquoi pas un peu de ciboulette et parmesan.

La maîtrise du temps de cuisson

Pour réussir vos plats, tout est question de cuisson ! Pour une cuisson rapide de la tomate, vous pouvez les saisir à la poêle pendant 5 minutes. Pour réaliser une sauce ou un coulis, laissez-les cuire au moins 20 minutes, avec un demi-sucre ou une cuillère à soupe de lait pour leur enlever un peu de leur acidité. Pour des tomates farcies, comptez au moins 40 minutes et optez pour des tomates rondes de gros calibre, mûres et fermes à la fois. Les choisir à taille égale vous permettra d’obtenir la même cuisson pour chacune d’elles.
L’épinard, lui, doit de préférence être cuit « en tombée », c’est à dire rapidement et à la poêle, pour garder son jus riche en micronutriments. Associez-le pendant un repas avec du poivron, des agrumes ou un kiwi, son fer n’en sera que mieux absorbé. Idem en y ajoutant une pointe de crème fraîche pour favoriser l’assimilation des nutriments liposolubles.

Quid du meilleur mode de cuisson ?

Les apports varient selon les modes de cuisson. Si vous avez l’habitude de la cuisson à l’eau et donc de plonger vos légumes dans un grand volume d’eau porté à ébullition, ne jetez pas l’eau de cuisson ! Vous allez perdre leurs oligoéléments. Gardez-là pour l’intégrer, par exemple, à la soupe. Son goût n’en sera que plus savoureux. La cuisson vapeur, à environ 100°c, ne détruit pas toutes les vitamines et préserve le croquant des légumes tout en les rendant moelleux. On vous conseille de les cuire dans un panier asiatique ou un couscoussier. La cocotte-minute, pourtant pratique, a tendance à agresser les légumes en les cuisant à une température supérieure à 100°c.
Le must reste la cuisson à la vapeur douce, un grand classique en Asie où on la pratique depuis plus de 6000 ans. Avec elle, les aliments cuisent en dessous de la barre des 100°c. Cette cuisson à basse température, possible grâce aux cuits-vapeur, permet de conserver tous les oligoéléments et nutriments, même les plus fragiles comme la vitamine C, qui craint eau et chaleur. Quant à la cuisson au four, surtout si la préparation est longue, elle a tendance à détruire les vitamines. L’astuce : préférez, si vous êtes pressés une cuisson rapide à la poêle pour saisir les légumes ou la cuisson en papillote, qui abîmera moins les légumes et conservera davantage leurs nutriments.

Les Paysans de Rougeline participent à la 1ère journée Avignon Ville Durable

La ville d’Avignon organisait le samedi27 Octobre, la Grande Journée Avignon Ville Durable.

 

Cette manifestation, à destination du grand public, avait pour but de sensibiliser sur le thème du développement durable et d’informer sur les actions de la Ville en la matière, comme :

 

La journée était également ponctuée par des tables rondes et des animations, organisées par 28 partenaires et exposants, parmi lesquels des institutionnels, des associations mais aussi des partenaires privés, dont Epicurium et  JPL Provence.

 

Ainsi Jean-Philippe Briand et Julie Vié ont proposé un stand de dégustation de leurs tomates aux visiteurs et ont participé aux échanges autour des nombreuses initiatives locales.

5 reflexes pour mieux conserver vos fruits et légumes par Murielle Giordan

Premier réflexe : Je range au bon endroit !
Réflexe n°2 : Je réduis l’éthylène
Réflexe n°3 : Je pense aux durées de conservation
Réflexe n°4 : Je leur donne un second souffle
Réflexe n°5 : J’apprends à bien congeler la tomate

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1 fruit à la récré !

En ce mois d'Octobre, Les Paysans de Rougeline ont participé à l'opération « 1 fruit à la récré », dans 3 collèges autour d'Avignon.

 

Cet évènement fait partie du programme « Fruits et légumes au collège », initié avec le concours de l’Union européenne par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, le Département du Vaucluse et la MSA. L'objectif est de promouvoir, auprès des enfants scolarisés, des habitudes alimentaires plus saines et une meilleure connaissance de l’agriculture locale.

Ainsi, l'Association Coll'Vert organise, dans 15 collèges, des distributions de fruits, différents selon les saisons, et met en oeuvre des animations pédagogiques. Cette association regroupe les agriculteurs du Vaucluse, soucieux de promouvoir une alimentation saine et solidaire, de préserver l’environnement et la biodiversité, en maintenant une agriculture durable et économiquement viable. 

 

Cette 1ère édition a été un grand succès : élèves, enseignants et encadrants se sont régalés … et en redemandent !

Salon MED Agri le 17 Octobre à Avignon

Les Paysans de Rougeline ont participé à un atelier sur le thème « Redynamiser la culture sous serre en Région Méditerranée », lors du salon MED Agri le 17 Octobre 2018.

Cet atelier était organisé dans le cadre du projet MEDgreenhouses financé par Interreg MED Programme, avec la participation de la Chambre Régionale d'Agriculture PACA, le Pôle Terralia, l'ADEME, le BRGM, Filclair et Les Paysans de Rougeline.

plus d'infos

« A l’ESA, les stages ont construit mon projet personnel »

Article paru dans Le Courrier de l’Ouest

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Hervé Cuisine nos concombres Zéro Résidu de Pesticides et nos tomates cerises Pépites chez Valéry Goy, en Camargue. Et ça donne, un club concombre-chèvre frais délicieux et des linguine crevettes-tomates cerises crues et cuites….

Il fait bon travailler chez nous… une petite compilation de prises de parole de salariés de l’entreprise, qui illustrent quelques points clés de la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), un engagement fort du projet des Paysans de Rougeline.

Manuel 𝑷𝒆𝒚𝒓𝒐𝒏𝒅𝒆𝒕, 𝒈𝒓𝒂𝒏𝒅 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒍𝒊𝒆𝒓 et passionné de goût, déguste à l’aveugle nos Pépites. “C’est une vraie explosion de saveurs, en fait. Une sensation très contrastée de douceur et d’acidulé à la fois. On a un vrai concentré de goût : délicieux.”

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